Le Français, cher à Molière,
Que le temps l'enrichisse
Sans que les nuisances l'abîment,
Que les cahiers se remplissent sans que l'on en rougisse.
La beauté des textes, de pureté, nous sublime
Tout en évitant que le modernisme,
Loin de la plume, l'appauvrisse.
Ne déplaise à l'argot, qui prospère,
Loin de disparaître,
Fiers de lui, on le vénère.
**poètamateur
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