S aison, préliminaire aux froidures de l'hiver, tu es arrivée.
É té, bien chaud, bien radieux, ton retrait nous chagrine,
P ersonne, humains, animaux et végétaux ne sont épargnés,
T ant que le soleil chauffe, rayonne, on garde bonne mine,
É léments feuillus préparez votre nouvelle parure.
M atinées fraîches, vous commencez à nous faire frissonner,
B ien malgré moi, une petite laine sur les épaules, me rassure.
R ien n'est laissé au hasard, les oiseaux, bientôt vont muer.
É coutez le brame, il se fait tard, nous sommes à l'orée du bois.
**poètamateur
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