Amie du net, un malheur t'as frappée
Ton travail, ton labeur, parti en fumée.
Toujours heureux de te lire,
Brusquement ton silence m'a fait pâlir.
Que t'arrives-t-il si brusquement…
Ton absence me pèse lourdement.
Et puis ...ouf...soulagement…
Ton sourire quotidien jaillit agréablement.
Enfin, ce pépin, cette tuile,
Que tu me narres tristement
Cette perte, cela m'ennuie
Et j'en compatis, inévitablement.
Mais connaissant ton courage,
Retroussant tes manches et davantage,
d'arrache-pied, tu te remets à l'ouvrage
Et de ton merveilleux art, tu nous en fait partage.
**poètamateur
copyright n 00052404