T oujours le cœur sur la main, E ntretenir l'amitié, n'est pas vain N uage rayonnant souligne ton regard malin D éterminée et spontanée, R evivre nos moments passés ... É merveillement de l'été.! C haque jour égrainé et un enrichissement de la vie ! H...
Je sors par la fenêtre Il fait nuit, tout le monde dort, peut- être, Avec deux ailes, qu'il est doux de survoler. Au loin, le ciel a des reflets violets. Là, une personne ferme ses volets. Ici, la lumière clignote, Quelqu'un est sur le seuil de sa porte,...
Sur la toile, je l'ai rencontré, Les yeux hagard, j'étais bluffé.! C était un fanfaron comme d'autres. Puis j'ai appris à le connaître, J ai découvert un poète Qui, par ses écrits, nous régale Un écrivain digne de ce nom, Un dessinateur de surcroît, Ces...
M aline, quel choix ! A ccroché, épinglé à ta photo L argement mérité, pseudo de roi ! I rréelle apparition, tantôt N ébuleuse et tendre, tantôt rieuse E n réalisant tes écrits, blagueuse, E tre ton époux, quel bonheur ! S avamment distillés, tes petits...
Au bout de ta main souple et légère, Ta plume s'en fût, quérir la phrase, Celle qui t'échappait, naguère, Au moment crucial, tu enrages, Ces mots tant espérés par elle, Timidement, ta voix vacille .. c'était viscéral , elle interpelle ! Après tant de...
L angoureuse amie, femme envoûtante A la fois ferme, douce et énigmatique U ne chevelure sombre encadre ton tendre R avissant minois dans lequel perce ton regard aigu. A ttachant, je devrais dire attirant, T on visage m'hypnotise. Accroché à tes lèvres,...
Le poète est énervé. La journée a mal commencé, Tôt réveillé Ce maudit téléphone a sonné, Mauvaise nouvelle est annoncée, Le rendez-vous espéré Vivement a été annulé. Dépité, Il retourne se coucher. Dans la matinée, Une idée, Il prend son bloc- note et...
Je reviens Me revoilà, village de mon enfance. c'est un rapide, et pourtant Que ce train est lent… J'avais quinze ans.. Oui, adolescente et toute innocente. Le lycée, loin de la maison.. Puis le travail, je me suis fait une raison. Un mari, oui, rencontré...
Je l'ai vu, je l'ai aimé Inoubliable, tant de beautés. La nature interurbaine Quelle belle aubaine ! Être assis, sur ce banc Et déjeuner, rêve d’enfant. Grâce à Dieu, le soleil est présent ! Environnement charmant. N’être dérangé que par l'oiseau passant...
Qu'ils soient d'un autre, Qu'ils soient de toi, Je ne me lasse pas, sans faute, De rêver et de lire pour toi. Tout ce que tu écrits me transporte, Tout ce que je vois de toi me réconforte. Tes textes m'éblouissent Les musiques en moi se réfléchissent...
Humm...quel programme ambitieux ! Les palpitations de mon cœur me rendent heureux Restons discrets, on ferait des envieux … Dans cet endroit idéal, évitons les curieux … Vite, un regard vers les cieux, Je réfléchis, et je fais un vœux... Que la météo...
Fluide comme dans un sablier... Le temps s'écoule, une triste vérité, Faisons en sorte que chacun de nous, Petits grains de sable, debout, Noyés dans cette immensité, humblement, puissions briller, Etinceler comme un éclat de cristal Dans ce désert, cet...
J e te découvre, A vec ton vieux port, tu t'ouvres, charmante.! I nflexible, tu as su résister au temps. M algré ton grand âge, près de mille ans ! É tonnamment, belle ville, tu es Normande, H onneurs tu connus, guerres parcourues, O n oublie ta puissance,...
Tu es d'un bleu, aujourd'hui, Que seule mère nature peut reproduire. Un miroir, certes, reflet mûrit Du ciel ici présent, fruit D'un peintre fou, au regard attendri .! Limpide, presque immobile, Seulement Trahie par un clapotis Contre ces rochers blanchis...
Dans sa maisonnette, seul Ignoré de tous, sauf de son épagneul Le vieux s'éteint doucement... Personne pour l'aider... Personne pour l'aimer... Le vieux sait beaucoup de choses, Mais personne à qui confier sa prose… On ne le connait pas… On ne le connait...
Amie du net, un malheur t'as frappée Ton travail, ton labeur, parti en fumée. Toujours heureux de te lire, Brusquement ton silence m'a fait pâlir. Que t'arrives-t-il si brusquement… Ton absence me pèse lourdement. Et puis ...ouf...soulagement… Ton sourire...
Tes yeux verts Vert, comme les reflets des flots Tourmentés par les vents d'en haut, Vert, comme les étendues d'herbages Contrastant avec le sable du rivage Vert, rimant gracieusement avec les vers Courant sous ma plume, comme Jacques Prévert Soulignés...
Douleur Blessure physique, blessure du cœur Plaie béante sans saveur Tu nous frappes par surprise, Ennemi, on te méprise , Douleur Tu frappes les innocents, Tu dispenses le malheur ! Douleur Mais nous nous serrons les coudes, Amis, nous luttons contre...
B onjour maman,je te couvre de bisous, en ce jour anniversaire O btenir un sourire de toi , ma bonne mère N otre chair est tienne... une évidence absolue N és de tes chères entrailles....papa en était ému E t maintenant les larmes baignent mes yeux F...
Charmante amie , douce et réservée, Ta présence, en randonnée, Renforce notre amitié. Ton prénom, Sylvaine Me fait penser, chère petite reine, À une belle âme, trop en peine. Ton sérieux, cache un esprit dynamique Ton humour fuse, de la dynamite ..! Ton...
Avecdeuxailes C 'est ton pseudo malin Deux ailes Pour voler… Voler au secours des gens dans le besoin Deux ailes Pour aider… Aider les pauvres qui ont faim Deux ailes En bénévolat… Certain diront ..encore le même refrain Deux ailes Pour vivre… Parce ce...
Je le raconte, je l'ai vécu En gros, en détail, pas au dépourvu Je l'exprime, en m'amusant Ma plume s'envole sur l’air du temps Je diffuse en noir sur blanc, Sur le papier sans faux semblant toute la vérité !, j’ étale vraiment Mensonges bannis... naturellement....
Je suis à la fenêtre, c'est calme dans la rue. Un chien aboie, il à dû en apercevoir un autre, peut être. Un cri strident trouble cette quiétude.. Tiens, c'est une hirondelle..! Elle s'en fût vers la rivière.. Le soleil luit, il perce entre deux petits...
Tu m'enivres, me trouble la vue et l'esprit, coquine Vaporeuse, tu dessines des arabesques, de jolis dessins Grise, à contre jour, tu apparais noire, révélation, destin ? Tu as un parfum détectable, presque agréable, selon ton origine. Mais là, s'arrête...
Tendresse. Tu as une lettre de plus que ta jeunesse, Normal, l'expérience remplace ta faiblesse, Ce mot de neuf lettres t'égale en richesse, Je ne puis penser à toi sans tristesse, Toi qui, grande chasseresse, A brisé mon cœur, sans délicatesse, En repoussant...