Le nez à la fenêtre
Glacé, mais je ne le laisse paraitre,
L'œil distrait, je songe.
La nuit tombe, la tristesse me ronge.
Tout ce brouille, nos conversations, nos mensonges.
La rupture était inévitable,
Comment sommes nous arrivés là..!
Après avoir parcouru ta lettre, posée sur la table.
Pour tout souvenir, je garde le petit chat.
**poètamateur
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